Depuis le début de l’année 2018, j’expérimente l’accumulation d’en-cours: j’ai plein d’envies, et pas le temps de tout faire. Ce qui pourrait être frustrant, voire stressant (ne pas finir ce que l’on a commencé), j’ai plutôt choisi de le vivre comme une multiplication de joies créatives. Ce sera fini quand ce sera fini, et en attendant, je me fais plaisir!
Tout a commencé en décembre de l’année dernière, avec le CAL Hygge de Scheepjes, qui m’a donné envie de me remettre à la broderie (avec un arbre de vie d’Un Chat dans l’aiguille). CAL (et arbre) que j’ai un peu mis de côté lorsque j’ai commencé à suivre des cours de broderie glazig en janvier. Cours qui m’ont inspirée pour élaborer ma participation brodée à un concours se terminant le 15 mars. Depuis le début d’année, mes soirées sont également rythmées par un autre projet Scheepjes, le Crochet Between the Lines Shawl, auquel je n’ai pas pu résister.
Mais surtout, depuis la mi-février, un autre « en-cours » occupe beaucoup de mon temps: George Barbier, artiste de l’époque Art Déco peu connu du grand public. Son enfance nantaise est très peu documentée, je suis férue de généalogie et j’habite à Nantes. Alors je documente. Sur cet en-cours, pas de patron, la forme finale n’est pas déterminée. J’avoue être assez impatiente de voir ce que ça donnera.
