Ma fréquentation des réseaux sociaux s’est longtemps limitée à Facebook, je découvre depuis quelques semaines Instagram. Je prends plaisir à suivre certain(e)s brodeurs/brodeuses, je n’ai pas encore passé le cap de la publication, mais cela viendra peut-être. Si j’ai retrouvé sur Instagram beaucoup de créatifs que je suivais déjà sur Facebook (comme Pascal Jaouen, Un Chat dans l’aiguille, Yumiko Higuchi), je découvre avec joie de nouvelles sources d’inspiration au gré des photos et des hashtags (Mathias Ouvrard, Royal School of Needlework). Au début du mois d’avril, la magie des hashtags m’a menée à un beau mélange des genres: George Barbier a rencontré la broderie (#georgebarbier sur le compte de @ShardsofThread).
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En-cours, encore et toujours
La fin de l’année approche, c’est le moment de faire le point sur mes trois principaux en-cours de 2018.
Des bobines et un illustrateur
Voici une histoire de fil qui commence par une triste nouvelle, pour se terminer sur un beau hasard. Il y a quelques temps, j’ai appris que la mercerie Au Fil d’Or, en haut du passage Pommeraye, allait fermer définitivement à la fin de cette semaine, et liquidait donc son stock. Une mercerie qui ferme, c’est toujours un pincement au cœur. Je m’y suis rendue samedi dernier et j’ai fait de très belles trouvailles: des bobines de mes fils à couture DMC préférées (fils à boutons et à draperie des années 70-80) à 1€, et un kit de broderie point de croix Maia à 10€ (au lieu de 47). Mais la beauté de la trouvaille ne réside pas dans l’économie effectuée: ce kit de broderie présente un visuel inspiré d’un illustrateur contemporain (et ami) de George Barbier, Romain de Tirtoff, dit Erté.
Je reste zen face aux en-cours
Depuis le début de l’année 2018, j’expérimente l’accumulation d’en-cours: j’ai plein d’envies, et pas le temps de tout faire. Ce qui pourrait être frustrant, voire stressant (ne pas finir ce que l’on a commencé), j’ai plutôt choisi de le vivre comme une multiplication de joies créatives. Ce sera fini quand ce sera fini, et en attendant, je me fais plaisir!
Musique #28: avril 2018
En un peu plus de deux ans de Musique du mois, je n’ai jamais partagé de musique classique. Ma connaissance en la matière est limitée, et quand j’ai besoin d’une « musique calme » pour m’inspirer ou travailler, je vais plutôt piocher dans les bandes-originales de films. Mes recherches sur George Barbier m’ont permis de découvrir Claude Debussy.